LES LAURÉATS DE 2025

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Dans Saint-Laurent-d'Agny, il y a une bibliothèque.
Dans cette bibliothèque, il y a beaucoup de livres.
Dans ces histoires, il y a le petit chaperon rouge qui... mange le loup !
Dans cette bibliothèque, il y a beaucoup de livres.
Dans ces histoires, il y a le petit chaperon rouge qui... mange le loup !

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A Nîmes, il y a un aéroport.
Dans cet aéroport, il y a un canadair.
Dans le canadair, il y a une écope.
Dans l'écope, il y a un grillage.
Le grillage explosa l'écope.
L'écope explosa le canadair.
Le canadair explosa l'aéroport.
L'aéroport explosa Nîmes.
Dans cet aéroport, il y a un canadair.
Dans le canadair, il y a une écope.
Dans l'écope, il y a un grillage.
Le grillage explosa l'écope.
L'écope explosa le canadair.
Le canadair explosa l'aéroport.
L'aéroport explosa Nîmes.

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Dans le monde il y a des continents
Dans ces continents il y a des pays
Dans ces pays il y a des capitales
Dans ces capitales il y a des quartiers
Dans ces quartiers il y a des maisons
Les maisons embrassent les quartiers
Les quartiers embrassent les capitales
Les capitales embrassent les pays
Les pays embrassent le monde
Dans ces continents il y a des pays
Dans ces pays il y a des capitales
Dans ces capitales il y a des quartiers
Dans ces quartiers il y a des maisons
Les maisons embrassent les quartiers
Les quartiers embrassent les capitales
Les capitales embrassent les pays
Les pays embrassent le monde

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Sur un rêve à réaliser
Sur un nuage de coton
Sur le ciel avec ses oiseaux blancs
J'écris ton nom
Sur l'océan calme et chaud
Sur la plage, je ramasse des coquillages
Sur la mer où l'eau est salée
J'écris ton nom
LIBERTE
Sur un nuage de coton
Sur le ciel avec ses oiseaux blancs
J'écris ton nom
Sur l'océan calme et chaud
Sur la plage, je ramasse des coquillages
Sur la mer où l'eau est salée
J'écris ton nom
LIBERTE

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Sur ce qui scintille
Sur les confétis de fête
Sur le soleil couchant
J'écris ton nom
Sur les plages lumineuses
Sur le feuillage des arbres
Sur les troncs écorcés
J'écris ton nom
Sur l'herbe désséchée
Sur les fleurs qui fannent
Sur les mers et les océans
J'écris ton nom
Sur les papillons de jour
Sur les joncs aux alentours
Sur les feuilles du printemps
J'écris ton nom
Et par la magie du soleil
Les étoiles scintillantes
La lune toute blanche
J'entends le mot
LUMIERE
Sur les confétis de fête
Sur le soleil couchant
J'écris ton nom
Sur les plages lumineuses
Sur le feuillage des arbres
Sur les troncs écorcés
J'écris ton nom
Sur l'herbe désséchée
Sur les fleurs qui fannent
Sur les mers et les océans
J'écris ton nom
Sur les papillons de jour
Sur les joncs aux alentours
Sur les feuilles du printemps
J'écris ton nom
Et par la magie du soleil
Les étoiles scintillantes
La lune toute blanche
J'entends le mot
LUMIERE

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Amour incandescent
La neige tombe en cette veille de Noël
Au milieu de Lyon, la grande roue scintille
Parents et enfants joyeux ont les yeux qui brillent
Dans ce décor enchanté, je n'attends plus qu'elle
Soudain, au sein de la foule, je l'aperçois
Cet univers si bruyant se mue en silence
Mon cœur s'accélère, elle devient évidence
Je sens ce désir intense qui monte en moi
La belle s'approche doucement, on s'enlace
L'espace-temps brusquement vient de s'arrêter
Dans ses bras, un immense instant d'éternité
Restant les yeux dans les yeux sans que je m'en lasse
En lévitation, en pleine conscience
Je m'abreuve puis m'enivre de cette fièvre
Où suspendu merveilleusement à ses lèvres
Je savoure l'embrasement de mes cinq sens
Mon corps entier s'attise du feu de l'Amour
Consumant entièrement tout sur son chemin
Sans penser à ce qui subsistera demain
Un séisme exaltant, assumé sans retour
Au cœur de cette chambre, nos âmes s'enflamment
Ce pur magma émotionnel nous submerge
Comme un tsunami emportant digues et berges
Du chaos restera la beauté de la flamme
Au petit matin, le vif du volcan s'est éteint
Après la fusion, cette petite mort
Devant un café, songeur je me remémore
Ce rêve fantasmé, que je vous ai dépeint
La neige tombe en cette veille de Noël
Au milieu de Lyon, la grande roue scintille
Parents et enfants joyeux ont les yeux qui brillent
Dans ce décor enchanté, je n'attends plus qu'elle
Soudain, au sein de la foule, je l'aperçois
Cet univers si bruyant se mue en silence
Mon cœur s'accélère, elle devient évidence
Je sens ce désir intense qui monte en moi
La belle s'approche doucement, on s'enlace
L'espace-temps brusquement vient de s'arrêter
Dans ses bras, un immense instant d'éternité
Restant les yeux dans les yeux sans que je m'en lasse
En lévitation, en pleine conscience
Je m'abreuve puis m'enivre de cette fièvre
Où suspendu merveilleusement à ses lèvres
Je savoure l'embrasement de mes cinq sens
Mon corps entier s'attise du feu de l'Amour
Consumant entièrement tout sur son chemin
Sans penser à ce qui subsistera demain
Un séisme exaltant, assumé sans retour
Au cœur de cette chambre, nos âmes s'enflamment
Ce pur magma émotionnel nous submerge
Comme un tsunami emportant digues et berges
Du chaos restera la beauté de la flamme
Au petit matin, le vif du volcan s'est éteint
Après la fusion, cette petite mort
Devant un café, songeur je me remémore
Ce rêve fantasmé, que je vous ai dépeint
Marc VERHAEGHE